1974 : L'alcoolisme à la campagne | Archive INA

Qu'est ce que j'aime cette vieille France... Et pourtant je ne bois même pas d'alcool, mais j'aime tellement la façon dont s'exprime les gens

Ques que j'aime ces petites anecdotes de nos aïeux.

La suppression du privilège de bouilleur de cru a surtout aidé pernord Ricard, le lobbying ne date pas d'aujourd'hui.

2:34 Il utilise la formule C2H5OH pour décrire l'éthanol. Ça frime sec

"Bouilleur de crus dernier obstacle à la lutte contre l'alcoolisme" je dirai plutôt dernier rempart a l'industrialisation de l'alcool. Encore un privilège qui n'en était pas un...

des gens de la campagne avec une belle diction, c'est limite merveilleux à écouter.... pfff ça à bien changer, de braves gars!

ah il y avait des solides dans le temps!

"2 a 3 litres d'eau de vie par jour" Bruh mon foie il tient pas une semaine

Ça avait l'air d'être des bons gars

3:20 cette écoulement d'eau parfait et continu

Mdr le gars qui dit: "Ah bé, tu mets de l'eau dedans toué?" 2:07

Le Corona n’aurait pas résister 1 semaine. 😂👌

Merci beaucoup pour cette balade dans le temps !!!

Très beau reportage. Magnifique

Il y a quelques années un ami proche a ouvert un bar tabac en centre ville à 5 min de chez moi à pied. Première fois de ma vie que je connaissais personnellement quelqu'un qui gérait un bar, du coup pendant mes congés j'allais boire le café avec lui tôt dans la matinée. Je peux vous dire que même aujourd'hui, il a y a de sacrés soiffards, et pas qu'à la campagne.. à 8h30, un gars s'arrêtait en fourgon devant le bar, commandait un jaune avec 2/3 jaune 1/3 eau dans un petit verre, il s'enfilait ça cul-sec et se barrait aussitôt au boulot. La première fois que je l'ai vu faire ça je n'en croyais pas mes yeux

"Avec 50 kilos de pommes de terre et 3 sacs de sciure , il te sortait 25 litres de 3 étoiles, mais on a du arrêter la production , les clients devenaient aveugles...."

Mon grand-père était brouilleur de cru, j'ai bu des calvas hors d'âge, de pures merveilles, car jamais malade. Calva Introuvable maintenant car hors de prix, c'était avant.

2:29 quand ton pote te regarde en cours

Mon arrière-grand-mère avait une distillerie en 1889 et fabriquait du Vermouth, de la "fée verte" (absinthe) et de l'anis. Début du 19ème siècle la maison a fermé à cause des règlements de plus en plus restrictifs et des droits de fabrications déposés par les grands producteurs. C'est la vie qui passe de régionale à internationale...

dans le contrat des ouvriers de ma grand mère (propriétaire viticultrice) il était stipulé qu'ils avaient droit à la "buvette" soit un litre de vin par repas et un demi litre pour leur femme soit 2.5litres par jour et, ils venaient les chercher!!!! bon il faisait pas 14°!!! et dans les années 75 j'étais encore dans le marais vendéen et, il y avait de l'alcool partout dans les caves (rentres si tu veux sort si tu peux)